Est-ce que la science moderne nous donne un accès aussi légitime que l’Écriture Sainte à la création divine ? Quand le livre de Josué évoque le soleil qui a arrêté sa course, devons-nous rejeter la pertinence du texte biblique ou au contraire en proposer une lecture non
littérale, conciliable avec un monde héliocentrique ou un univers infini dont physique et cosmologie fournissent désormais les lois mécaniques ?